Parmi le train de réformes mis en place par la nouvelle présidence de la FFR nous sommes soumis à de plus en plus de contraintes, à de plus en plus de réunions, à de plus en plus d’expériences.
Après avoir sué sang et eau pour finaliser nos licences, maintenant traitées de manière dématérialisée (et ce n’est pas fini !), après avoir glorieusement participé au premier plateau expérimental « ATELIERS (et ce n’est pas fini !), il nous restait à organiser la réunion « SECURITE », qui cette année se déroule dans la structure du club sous la responsabilité du référent sécurité, en l’occurrence votre humble serviteur, qui lui-même a déjà été réuni par le comité départemental avec d’autres référents d’autres écoles de rugby.
Bref c’est une cascade de réunions qui nous est proposée depuis la rentrée. Inutile de dire qu’on nous en colle toujours plus, et que j’ai l’impression d’avoir tout simplement un travail non rémunéré plutôt qu’une charge de bénévole.
La réunion SECURITE s’est donc tenue ce samedi 4 novembre et elle a été très suivie, puisque 90% des éducateurs y ont participé. Les échanges ont été constructifs, grâce notamment aux supports vidéos fournis par les cadres de la fédé qui nous ont été d’un grand secours.
Parents soyez rassuré vos enfants sont maintenant en sécurité puisque la réunion a eu lieu.
Après avoir assuré l’essentiel, il n’était pas question de nous séparer sans continuer à assurer l’accessoire. Nous avons donc procédé à la distribution des polos qui seront cette saison portés par les éducateurs, afin qu’on puisse mieux les identifier au bord des terrains, en tout sécurité bien sûr.
A la suite de quoi, afin de ne pas nous mettre en danger en risquant une déshydratation collective, nous nous sommes réunis au club house afin de partager un moment de convivialité. Là encore, le thème de la journée était respecté et chacun a pu étancher sa soif.
Pour finir, nous sommes passés à table, car IGOR avait faim, et ce fut un excellent moment d’échanges et de convivialité.
L’occasion surtout de lancer la saison, et d’intégrer les nouveaux éducateurs qui nous ont rejoints.
Comme quoi, une contrainte peut être transformée en un moment de plaisir partagé.
Eric TAUZIN
